Rechercher dans le forum

Cette question a été résolue

Travailleur frontalier aux Pays-Bas, comment bénéficier des remboursements équivalents en France

Bonjour,
Je suis employée par une entreprise néerlandaise mais réside en France. Aux Pays-Bas, je paye pour une assurance maladie proposée par mon employeur qui rembourse mes soins sur place (obligatoire). Comme je n’y habite pas, j’ai obtenu le formulaire S1 que j’ai transmis à l’assurance maladie en France. J’ai donc le régime local frontalier (je réside en Alsace).
Cependant, je n’ai pas de mutuelle, donc mes remboursements ne sont que partiels et loin d’être équivalents à ceux que j’aurais aux Pays-Bas.
Y a-t-il un moyen d’avoir les mêmes remboursements que ceux pour lesquels je paye aux Pays-Bas? Dois-je souscrire à une mutuelle en France? Si oui, est-ce une mutuelle spécifique pour les frontaliers et est-ce spécifique au pays dans lequel je suis employée?
Merci d’avance pour vos réponses!
Bien cordialement

Ketrice

  • 1 question posée
  • 0 réponse publiée
  • 0 meilleure réponse

    Les meilleures réponses sont les réponses certifiées par un expert ameli ou approuvées par l'auteur de la question.

Voir le profil

Réponse certifiée par un expert ameli

Un expert ameli a validé la réponse ci-dessous.

Betty

  • 1772 réponses publiées

Passionnée des sports sensationnels qu’offrent la mer et la montagne, je suis auss...

Voir le profil

Bonjour Ketrice,

Pour une prise en charge à 100% de vos soins, il convient effectivement de souscrire à une mutuelle en France.

Aussi, nous ne pouvons répondre sur ce forum, que sur des questions réglementaires concernant l'Assurance Maladie. Je vous invite donc à contacter différents organismes complémentaires afin d'effectuer des devis et connaître les garanties qu'ils proposent.

Pour plus d'information sur le remboursement de vos soins avec le régime local, je vous invite à consulter le site Régime local.

Je vous souhaite une bonne journée.

Ce post vous a-t-il été utile ?

aucun utilisateur n’a répondu à la question pour l’instant