Bonjour a tous/toutes ! Suite a un arrêt (opération chirurgicale) de 3 mois ; Je vous décrit ma situation :
J'ai travaillé toute l'année 2016 ... puis ouverture de droits ARE le 30/10/2016.
Je n'ai pas travaillé toute l'année 2017 mais j'ai obtenu mes indemnités ARE comme il le fallait
Cependant j'ai loupé un RDV et j'ai été "radié" du pole emploi pour une période de quelques mois. puis je me suis ré-inscrit derrière (15/07/2017). Mon ARE s'est finalement terminée le 28/09/2017. puis je suis passé en ASS depuis,, jusqu'a la date de mon arrêt le 22 mai (arrêt du 22 mai au 22 aout 2018)
selon le site AMELI :
vous percevrez des indemnités journalières pendant votre arrêt versées par l'Assurance Maladie pour compenser la perte de vos allocations chômage.
normalement, ces IJ sont calculées à partir de la moyenne des salaires bruts des trois ou douze mois précédant ma perte d’emploi. (nov 2016) come j'etait en interim j'ai donné les fiches de toute l'année.
Je possède les fiches de paye de l'année précédent mon inscription au pole emploi en novembre 2016
j'ai déposé une demande d'IJ (arret 3 mois) fournissant mes fiches de payes ainsi que tout les justificatifs
mais ma demande a été rejetée ! (sans motif sur le courrier de refus)
Suite a un echange telephonique avec la CARSAT il semblerait que l'assurance maladie ne se base pas sur les salaires avant la PERTE D'EMPLOI mais sur les salaire précédent la date d'INSCRIPTION au pole emploi (novembre 2016 pour la premiere / juillet 2017 pour la deuxième...)
ma question est la suivante : est-il possible que la CPAM se base sur la deuxiemme date d'inscription et evite ainsi de me payer mes IJ ?
pour moi ca n'a pas de sens... une fois tout mes droits epuisées, je conserve égalementl le statut d'assuré social pour une durée d'un an. et on devrait également remonter logiquement aux dernières fiches de paye.
PS : j'ai saisi le Président de la commission de recours amiable il y a de ca 1 mois avec un LRAR mais je n'ai recu AUCUNE réponse.
est-ce légal ?
Merci aux experts qui eclaireront ma lanterne.
