Droit d'option pour les retraités de la fonction internationale dont l'assurance est, en France, inopérante DANS LES FAITS en cas d'hospitalisation :
Hospitalisation programmée : Accords de prise en charge difficiles à obtenir (délais, non réponse en cas de relances) ou, en cas d'avance des frais, montants très élevés et remboursements non assurés (dépendant de l'avis d'experts médicaux dont l'interprétation des clauses de couverture es imprévisible)
Hospitalisation en urgence : Accords de prises en charge impossibles à obtenir en temps utile pour permettre l'envoi de la facture directement à l'assurance maladie internationale,
Dans tous les cas : problèmes insurmontables en cas de prolongation de l'hospitalisation au-delà de la durée initialement prévue
Existe-t-il un droit d'option lorsque, en théorie, l'assurance maladie de l'organisation internationale est similaire à l'assurance maladie française mais que, dans les faits, elle s'avère quasi-inopérable en cas d'hospitalisation notamment ?
